

PRINCESSES LEYA
« Si tu crois qu’on peut aimer Rammstein et Dirty Dancing, ce spectacle est pour toi. »
Grand Amateur de pop acidulé et chemises interflora, Schoumsky a un rêve : gagner l’Eurovision ! Mais dans son entourage personne ne veut l’aider à part Dedo, « Le prince des ténèbres ». Sauf que celui-ci pose une condition : l’Eurovision oui ! Mais en faisant du Heavy Metal !
Le résultat :
Un concert humoristique qui fracasse les clichés !
Une battle musicale pour les amateurs ET les détracteurs de sons saturés !
Voici l’histoire du premier groupe de quasi Metal : Les Princesses Leya !
EN 1ÈRE PARTIE
THOM SOUYEUR & LES PETITS GRÉGORY
Une association de malfaiteurs créée de toute pièce en 2015. Dès le début, ils choisissent de se démarquer en traitant de thèmes audacieux et tabous tels que l’amour inter-espèces, les complexes d’oedipe tardifs ou encore le suicide collectif dans le cadre familial. Cela leur permet tout de même de faire les premières parties d’intellectuels comme Giedré ou Mononc’Serge et de partager des scènes avec les grands penseurs que sont Didier Super ou le groupe Schlaasss.
Les textes, subtils et bien léchés sont portés par une musique librement inspirée des VRP, des Fatals Picard, de Ludwig 88.
Sur scène ils sont épaulés par le séduisant Jean-Yves Camet, célèbre producteur-archéologue-célibataire de taille modeste, qui nous prend par la main pour nous permettre de vivre pleinement l’expérience d’un « Constacle » (collision entre un concert et un spectacle) inoubliable et familial.
Un show implacable et aléatoirement maitrisé, entre la bonne humeur et la légèreté apparente on peut lire une profonde envie d’élever les consciences,
leur devise :
« ce n’est pas pour rigoler, c’est pour dénoncer ».